Real I.S. France poursuit ses investissements en immobilier de bureaux dans les centres-villes des grandes métropoles françaises.
À Lyon Confluence, pour le compte de son fonds à capital variable RealisInvest Europa[1], la société vient d’acquérir auprès d’AG Real Estate France, un ensemble mixte de 6 770 m2 loué en intégralité.
Real I.S. a acquis FactorY auprès d’AG Real Estate France pour un montant de 46 millions d’euros. Livré en mai 2018, cet immeuble, conçu par l’architecte suisse Christian Kerez, qui y a déliné le principe WWF : One Living Planet, et l’agence lyonnaise AFAA (architecte d’opération), se déploie sur sept étages avec une cour-jardin et un niveau en infrastructure. Très ouvert, généreux en lumière naturelle, tout en transparence avec une structure épurée d’inspiration industrielle, 3 mètres de hauteur sous plafond et de larges baies vitrées en bandes horizontales, l’immeuble offre un panorama dégagé sur le paysage alentour. En 2019, l’opération avait reçu l’Équerre d’argent, dans la catégorie Activités.
Les 6 240 m2 de bureaux sont loués, en totalité, auprès de 12 locataires. Immeuble mixte, FactorY dispose de 530 m2 d’espaces commerciaux en rez-de-chaussée. Ils accueillent une boulangerie, un institut de beauté et une agence bancaire. Sur le plan environnemental, il est doté d’une centrale photovoltaïque à haute densité en toiture et présente une empreinte énergétique optimisée. FactorY est certifié HQE avec un passeport Exceptionnel, BREEAM Construction en niveau Very Good et Effinergie+.
« Cette acquisition nous offre l’opportunité d’étoffer notre portefeuille lyonnais en intégrant dans notre patrimoine local, qui compte déjà quatre actifs, un immeuble de bureaux parfaitement localisé, intégralement loué et écologiquement performant. » explique Alexandre Guignard, director investment management international pour Real I.S. France.
Dans un des îlots de Lyon Confluence, Ynfluences Square, morceau de ville mixte à énergie positive, FactorY s’élève au cœur d’un des plus vastes projets de renouvellement urbain de centre-ville d’Europe. À ce titre, il bénéficie d’un environnement privilégié, très prisé par les start-up. Au cœur de la presqu'île, entre hyper-centralité, architecture innovante et sites naturels d'exception, le quartier s'impose comme un exemple européen en termes d'investissement d'avenir.
« FactorY correspond à notre vision de l’immobilier de bureaux responsable. Au sein du premier quartier durable de France labellisé WWF, développé pour réconcilier qualité de vie et écologie, cet immeuble mixte et innovant procure un confort particulier à ses usagers, dans un cadre qui ambitionne de repenser l’art de vivre en ville. Il se révèle ainsi en adéquation avec les critères ESG qui guident la constitution de notre patrimoine. » explique Christoph Erven, président de Real I.S. France.
« AGRE s’était positionné au début du développement du quartier de la Confluence compte tenu des fortes ambitions du projet urbain, de la mixité d’usages concentrée autour de la darse publique, et de son offre immobilière maîtrisée et complémentaire aux quartiers de La Part Dieu et Gerland. Après le succès de la commercialisation de l’immeuble à des utilisateurs exogènes à la zone Confluence, nous sommes ravis de pouvoir céder un actif bénéficiant d’excellentes conditions de gestion sur un marché à présent établi. L’ambition d’AG Real Estate en région est de continuer à investir sur des opérations situées dans des quartiers mixtes et bénéficiant d’un développement urbain marqueur d’une attractivité forte pour les utilisateurs. » explique Thibault Delamain, Directeur Général, Head of Investment et Asset Management AG Real Estate France.
Pour cette acquisition, Real I.S. s’est appuyée sur les conseils de C&C Notaires,
du cabinet d’avocats sbkg & associés et de Drees & Sommer. AG Real Estate France bénéficiait des conseils de BNP Paribas Real Estate Transaction France (dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec JLL) et de l’étude LEXFAIRNotaires.
[1] Fonds créé en 2019 pour les investisseurs privés et ouvert aux particuliers en Allemagne depuis 2020.
Photo: Maxime Delvaux
